Le tourisme

La méthode consiste à partir de l’existant et se projeter en tirant profit de tous les avantages qu’offrent les partenariats public/privé (PPP) pour réaliser les programmes ci-après :

Le développement du tourisme doit avoir pour socle la promotion de notre culture. La route des chefferies, le tourisme écologique, faune, flore sont des bonnes pistes de développement de notre économie touristique.
Néanmoins, il faudrait par la suite développer un tourisme de loisirs ainsi qu’un tourisme MICE (Meetings, Inventives, Conferencing, Exhibitions)

Afin de faire du Cameroun une destination touristique africaine et internationale. Pour ce faire, il sera nécessaire de repenser les destinations telles que Kribi, Limbé afin d’en faire de vraies « stations balnéaires ». Une véritable politique d’urbanisation mise en place et encadrée par les autorités (ex : routes, réaménagement des plages et leur végétation, parcs naturels et aquatiques…) permettra de soutenir et inciter les investissements privés locaux/internationaux (hôtels, casinos, villages de vacances, restaurants) à travers le strict respect d’un cahier des charges. Par la suite de nouvelles destinations touristiques balnéaires pourraient être développées

(Manoka, Djébalé, Mouanko/Suelaba, les chutes de la Lobé et surtout Bakassi, qui pour ceux qui connaissent, compte tenu de son potentiel, pourrait rejoindre la liste des destinations balnéaires de tout premier plan) afin que les populations y vivant puissent bénéficier de leur dynamisme.

Exemple : Assinie (Côte d’Ivoire), Saly (Sénégal), La Pointe Denis (Gabon), Maurice.